« Deuxième confinement, je filme ma jeune sœur Auréa qui prend son bain. Elle me confie ses doutes sur son avenir et sur la difficulté à avoir des histoires d’amour. »
Une jeune iranienne déplie ses souvenirs d’école au travers des plis et des tissus de son vieil uniforme.
Aux usines Wonder de Saint-Ouen, la reprise du travail vient d’être votée, mais une jeune ouvrière s’insurge : le scrutin a été manipulé, rien n’a été obtenu et, de toute façon, elle ne « foutra plus jamais les pieds dans cette taule ».
« Un film sur tous les objets qui auraient dû finir à la poubelle mais que je garde, car ce sont des reliques de personnes absentes. »
13 ans, un âge à la croisée des chemins entre l’enfance qui s’évapore et la vie d’adulte qui débute. Perturbée, malmenée ou encore brouillée, l’adolescence est une période où les repères sont parfois difficiles à trouver.
« J’ai recueilli le témoignage d’une jeune adulte de 23 ans qui se remémore cette période parfois ingrate et confuse. L’adolescence laisse des marques indélébiles en nous, des blessures cachées qui ressurgissent parfois sans crier gare. »
Les jeux vidéo les plus violents ne sont pas forcément ceux auxquels on pense. Souvenir dessiné d’un profond traumatisme.
Papa, c’est le regard bienveillant et positif que porte une fille sur le handicap de son père.
Plage de Primel-Trégastel, dans le Finistère Nord. Le concours annuel de châteaux de sable bat son plein…
La Parade est une fable bien réelle. C’est l’histoire de Cloclo n°18, majorette, de Jonathan, adepte de tuning, de Freddy, éleveur de coqs de combats et de Gros Bleu, le pigeon voyageur, qui, au rythme de l’harmonie de Oignies et sous le regard bienveillant des géants, vivent leurs passions héritées des traditions ouvrières du Nord. Loin de l’image sociale réductrice et des préjugés, Mehdi Ahoudig et Samuel Bollendorff voient dans cette survivance une génération portée par l’espoir.
Christopher est un jeune homme constamment menacé par un trou noir qui aspire toute bonne émotion pour ne laisser autour de lui que le négatif. Un jour, Christopher n’arrive plus à lutter contre ce puits gravitationnel de plus en plus puissant et se fait totalement absorber. Miraculeusement, il en sort. De l’autre côté, il aperçoit enfin la lumière et c’est un monde moins sombre qui se profile devant lui.
